Soliste en 1972 : Gérald Meunier (intro) Bonheur, Bonheur, Bonheur, Bonheur Où es-tu donc passé, Où es-tu donc passé J’ai vu des fleurs empoisonnées, des animaux sauvages Des bateaux échoués sur de lointains rivages, J’ai vu la mort à la seconde, La misère dans le monde, Mais je n’ai jamais su où te trouver. Bonheur, Bonheur, Bonheur Où es-tu donc passé, Où es-tu donc passé ? J’ai parcouru le grand désert, jusqu’aux oasis, J’ai questionné des mères des filles et des fils, J’ai vu l’espoir et la pitié, la détresse et la beauté, Mais je n’ai jamais su où te trouver. Bonheur, Bonheur, Bonheur, (Pont orchestre) Bonheur, ce serait si facile, On serait si tranquille tu sais, Mais ce serait trop beau pour être vrai. Il est un pays loin là-bas, où parait-il tu vis, Mais je ne sais pas où se trouve ce pays, Il y fait très beau chaque jour, c’est le pays de l’amour, Mais je n’ai jamais su où le trouver. Bonheur, Bonheur, Bonheur, Où es-tu donc passé, Où es-tu donc passé ?